A midi juste, je me mets à la recherche de mon déjeuner. Pissaladière, spécialité de la ville. Une faim de loup. Restaus fermés, deuxième confinement. Je me rabats sur une boulangerie. Vendeuse sympathique et rondelette comme ses brioches. Pissaladière, trois euros la part. J’ai faim, j’achète. Pâte industrielle (stries sur le dessous)
Boulangerie suivante. Pour comparer. Proche du Marché aux fleurs. Contemplation des anchois qui transpirent sur leur lit d’oignons. Le Monsieur avant moi en prend trois morceaux : « C’est la meilleure du coin ! » qu’il me dit. Confiance. Pur Niçois. Il a le look. Deux euros cinquante la part. J’achète.
Je m’assois sur un banc. Vue sur fleurs, touristes et autochtones. Lavande entêtante. Je goûte la première pissaladière, l’industrielle. Dégueue. Sèche, comme la peau de mes mollets que j’ai pas assez hydratée. La seconde…déception. Écœurante. Sucrée ! C’est les oignons qui donnent ce goût ou alors, ils ont carrément rajouté du sucre dans la pâte ?! Le Monsieur devait être payé par la marchande, c’est pas possible ! Poubelle en vue. Tout dedans. J’ai toujours aussi faim. Tant pis pour moi.
Finis les vacances pour la Marinade??? J’espère qu’elle en a bien profité. En tout cas, elle semble avoir la verve du retour!!! Bravissimo!
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Oui, je suis rentrée ! J’espère que les vacances ont été bonnes pour toi aussi, Mona !
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Hello M-H
Tu habites à Nice ? Veinarde 😆
Tu aurais dû en prendre une de pissaladière chez Picard et te la décongeler le matin avant de partir 😉
C’est pourtant pas sorcier pour les boulangers de faire des pissaladières ?
Allez, courage, pense à préparer ta gamelle pour demain 😆
Gros bisous
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Hi hi hi, Soene, et non je n’habite pas à Nice !
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