Le texte ci-dessous m’a été inspiré par cette photo dans le cadre de l’atelier BRICABOOK numéro 349.
Elles sont quatre amies et elles dévorent.
Insouciantes du pourrissement des fougères
Sur lesquelles elles sont installées,
Elles pique-niquent avec avidité.
Jambes étalées, jupes retroussées
Délestées de leurs sacs, de leurs cahiers
Fières de leur complicité
Elles s’amusent, elles s’esclaffent.
Leurs yeux se plissent, leurs pupilles flamboient
Leurs rires grincent, détonnent, deviennent sorciers
Elles se congratulent, se félicitent de l’avoir fait.
« C’est vrai, il l’avait bien cherché ! »
Sous les fougères, elles l’ont enterré
Le prof de maths et son sale martinet
Adieu les heures de colle et les zéros pointés
Pour elles c’est jour de fête, elles l’ont bien mérité !
MH
Marinade d'histoires 
Bon jour,
La quadrature du crime ? 🙂
Max-Louis
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Exactement ! Merci pour ton commentaire.
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oh, les coquines !
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Hé oui, Carole, des vilaines coquines !
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Effectivement ! Elles ont ce petit air revanchard et moqueur. Mais savent-elles qu’il s’agit de champignons vénéneux?
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Alors là, le cadavre serait vengé !!!
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Ha ha! Tu y vas fort ! Mais je te rappelle que j’ai encore 3 cadavres d’avance sur toi ! et Dieu sait pour quelle raison qui reste à découvrir mais ça c’est ton truc. Moi, je n’ai aucune imagination…
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🙂
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C’est joli, et diablement cruel ! Pauvre prof de maths, c’est pour ça que je suis prof de français langue étrangère, avec moi, les zéros ne pointent jamais ahaha ! Belle journée à toi, Sabrina
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Ha oui, on aime toujours les profs de français ! Français langue étrangère, j’en avais fait une UV à la fac dans mon jeune temps ! Merci pour ton commentaire Sabrina.
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Oups!! C’est cruel!! moi qui les pensait si innocentes!!
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Hé non, pas si innocentes que ça !! Merci pour ton passage.
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De vraies diablessess !
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